Transformer sa vie grâce au coaching

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Aujourd’hui j’avais envie de vous écrire un article pour vous expliquer concrètement comment transformer sa vie grâce au coaching.  Je ne savais pas vraiment par où commencer, et au cours d’une séance de sport il m’est venu l’idée de vous parler de MA transformation. Quoi de plus concret que de parler de sa propre expérience !? Car avant d’être coach, j’ai été une cliente.

De l’enfer à la résurrection

En 2016, j’ai voulu mourir…  Mon compagnon m’avait quittée 5 mois auparavant, et je ne m’en remettais pas. J’étais dans une profonde dépression, mon monde s’était écroulé (du moins c’est ce que je croyais). Je ne voyais plus aucune alternative à ma souffrance et je voulais juste cesser de souffrir.

Enfer

Pour faire court, prise de somnifères en nombre, passage obligé par les Urgences de l’hôpital, et un retour à la maison avec la culpabilité énorme d’avoir fait peur à mes enfants… (Et je n’en étais pas à mon coup d’essai, mais c’est une autre histoire).

De toute évidence, il fallait que je fasse quelque chose pour me sortir de là. Les antidépresseurs, anxiolytiques et somnifères n’avaient pas eu raison de mon désespoir. J’ai écouté mon ex-compagnon qui m’a conseillé de voir un psy. Je lui ai conseillé d’en faire autant car personne n’était sorti indemne de cette rupture. Cette thérapie que nous avons voulu familiale n’a pas donné les résultats escomptés… Mais elle avait déclenché une première prise de conscience chez moi.

J’ai alors tenté une thérapie individuelle, mais ce que j’en attendais était loin de ce que m’ont proposé les deux thérapeutes consultés. Je vous passe les détails… bref, aucun résultat. Ma fille était suivie également par une pédopsychiatre, qui m’a finalement été d’un plus grand secours que les miens. Simplement avec deux phrases qui m’ont fait réfléchir et comprendre beaucoup de choses par la suite.

Seulement voilà, je me retrouvais à la case départ, seule avec mes problèmes. J’ai alors cherché des solutions sur internet:  « comment se remettre d’une rupture », « sortir d’une dépression », etc. Et je suis tombée sur des vidéos de coachs en développement personnel, sur des méditations guidées pour résoudre mes conflits internes, sur des sites internet et des pages Facebook tous liés au développement personnel.

Et là, ma vie a doucement commencé à se transformer.

L’épreuve de trop

Petit à petit, je me suis plongée dans cet univers, je commençais à sentir que j’allais mieux progressivement.

Jusqu’au jour où… plusieurs appels en absence, ma famille qui cherche à me joindre de manière répétée et urgente. Je l’ai senti venir, mais je n’y étais pas préparée: mon père venait de partir pour un autre monde…  Et à nouveau, c’est le mien qui s’effondrait.

J’avais perdu « l’homme de ma vie » neuf mois plus tôt, je perdais maintenant le tout premier homme de ma vie; mon idéal masculin, celui qui m’avait tout appris. Et je redevenais tout à coup une petite fille… de 48 ans.

deuil papa

Avec le recul aujourd’hui, je me dis que j’ai eu la chance de découvrir le développement personnel peu de temps auparavant, sinon je me serais effondrée bien plus encore.

La perte d’un père est ravageur, elle vous renvoie à toute votre vie, à vos souvenirs, mais aussi à l’inéluctable issue de toute vie. J’ose penser que cette phrase entendue dans une vidéo a résonné en moi à ce moment-là: derrière chaque difficulté se trouve une opportunité.  Quelle opportunité peut-on bien trouver derrière la perte d’un papa… ? J’allais bientôt le découvrir.

A la découverte de moi-même

C’est fou ce qu’on se pose comme questions existentielles quand on perd l’une des personnes les plus chères de sa vie.  Qui suis-je ? Où vais-je ? Qu’est-ce qu’il m’a appris ? Qu’est-ce qu’il aurait dit dans telle ou telle situation ? Quels conseils de vie m’aurait-il donnés ?

Alors puisqu’il n’est plus là pour y répondre, on cherche les réponses par soi-même.  Et peut-être que ça n’aurait pas été ses réponses, mais ce sont celles qui nous permettent de devenir qui nous sommes, vraiment.

Je n’aurais pas su répondre à toutes mes questions sans le développement personnel. Le coaching a été ma béquille, celle qui m’a permis de continuer à avancer malgré le chagrin.

A partir de là,  j’ai acheté des livres, des formations, j’ai visionné des dizaines et des dizaines de vidéos, assisté à des webinaires et à des conférences de coachs, et suivi quelques séances. J’ai fait la plus grande introspection de toute mon existence, et toute ma vie s’en est trouvée transformée.

J’ai transformé ma vie grâce au coaching

Quand je dis que le coaching m’a transformée, je n’exagère pas. Au delà d’avoir été une béquille pour surmonter deux des épreuves les plus douloureuses de ma vie, le coaching a aussi bouleversé mon mode de pensée, mon mode de vie, mes relations aux autres. Concrètement, quels changements cela m’a apporté ?

Je ne vais pas vous raconter toute ma vie sinon cet article deviendra un livre !  😉 Et je ne suis pas là pour raconter ma vie non plus… Mais pour que vous puissiez voir l’étendue des transformations, au delà des problèmes que je cherchais au départ à résoudre, il faut que je vous livre une partie de moi…

Le poids

Perdre du poids pour se transformer de l'extérieur comme de l'intérieur

J’ai toujours été « ronde », ou grosse ou obèse, comme vous voulez. Le terme importe peu, je n’ai plus de problème avec les mots utilisés (mais j’en ai eu…). J’ai perdu du poids après ma rupture et le deuil de mon père, mais j’en ai perdu encore plus par ma propre volonté après le coaching.

J’ai réalisé que mon alimentation était trop riche. Je ne mangeais pas en grande quantité, je mangeais mal. J’ai rééquilibré mon alimentation, sans régime, sans frustration. Et j’ai perdu au total 23 kg en deux ans. Ça n’a rien d’impressionnant, mais je les ai perdus à mon rythme, sans me priver, et de manière efficace puisque je n’ai pas repris un gramme. Je continue de m’alimenter plus sainement et ma santé me remercie !

La cigarette

Arrêter la cigarette

J’ai fumé ma première cigarette à 12 ans, commencé à fumer régulièrement à 16 ans, et de 18 à 48 ans, j’ai fumé un paquet de cigarettes par jour…

Autant dire que là, ma santé ne me remerciait pas, mais pas du tout. Mes rares tentatives pour arrêter se sont soldées par des échecs à chaque fois, dès que je rencontrais la moindre contrariété. Alors certes, le décès de mon père a joué un rôle dans ma nouvelle tentative, lui qui a fumé plus d’un paquet par jour pendant 70 ans… mais après tout, il avait vécu en s’intoxiquant jusqu’à 86 ans. Pourquoi ne pas en faire autant ?

Là encore, le coaching a été déterminant, car cette volonté d’avoir une vie plus saine ne s’arrêtait pas à l’alimentation. Alors j’ai ressorti ma cigarette électronique qui m’attendait sagement depuis deux ans, et je ne l’ai plus quittée depuis.

Certains diront que la vape ne vaut pas mieux que la cigarette, et si vous écoutez nos dirigeants, « la cigarette électronique est aussi dangereuse que le tabac »… C’est un autre débat, mais personnellement je ressens les bienfaits de l’arrêt de la cigarette, là encore sans privation ni frustration.

Le sport

Le sport a transformé ma vie

J’ai toujours détesté le sport, au moins depuis le collège. Une fois sortie du système scolaire, je n’en ai plus jamais fait ou presque. Entre 18 et 48 ans, j’ai dû faire un an de sport ! Une fois de plus, je n’ai rien fait pour être en bonne santé. Une mauvaise alimentation, les cigarettes, et pas de sport. Il ne manquait que l’alcool ! J’ai échappé à ce vice 😉 J’avais également en tête que faire du sport prenait du temps et qu’il fallait s’inscrire dans une salle ou un club. Et je n’avais ni l’envie, ni le temps, ni l’argent. Ça m’arrangeait bien !

Et voilà que le coaching me donne envie de me remettre au sport. Bref, de faire l’exact opposé de tout ce que j’avais toujours fait. Une seule phrase d’un coach a suffi à me motiver: « le sport est excellent pour le moral » ! On m’avait répété à maintes reprises que le sport était bon pour la santé physique, et je ne suis pas idiote, je le savais, mais je m’en fichais 😉 Par contre, ce que je ne savais pas, c’est que le sport était un excellent antidépresseur naturel. Et ça, j’en avais VRAIMENT besoin !

Il suffit parfois de peu de choses, de la bonne information, de celle qui NOUS parle et nous concerne, pour passer à l’action. Depuis, je fais du sport plusieurs fois par semaine, sans contrainte de temps ni d’argent, à mon rythme encore une fois. Je ne dépense pas un centime, je fais du sport chez moi aux horaires qui me correspondent le mieux, avec l’aide d’applications sur mon smartphone. Et quand je suis dans l’obligation de cesser pour raisons de santé, ça me manque… Qui l’eut cru ?

La méditation et l’éveil spirituel

méditation pour transformer sa vie

Bon, là j’aborde un sujet plus délicat, car la spiritualité peut vite faire passer quelqu’un pour une personne « illuminée »… Et c’est ce que j’ai moi-même pensé, avant. Il y a quelques années en arrière, quand j’entendais parler de chakras, je ricanais, je trouvais ça complètement surréaliste. Aujourd’hui je porte des bracelets aux couleurs des 7 chakras, je médite quotidiennement, je me sens connectée à quelque chose de supérieur, et ça n’a rien à voir avec la religion…

Spiritualité et religion sont deux choses bien distinctes, même si on les confond ou associe bien souvent. Ceci pourrait faire l’objet d’un autre article. 🙂

La méditation m’a permis de trouver des réponses à des questions que je me posais, sur ma personnalité, mes comportements, mes réactions face à certaines personnes ou situations. Elle m’a servi de thérapie bien plus efficacement qu’un thérapeute…

La méditation, ce n’est pas l’absence de pensées comme certains pourraient le croire, c’est l’un des meilleurs moyens d’entrer en connexion avec la personne que nous sommes réellement, et de travailler sur soi pour devenir quelqu’un de meilleur. En débloquant des conflits internes grâce à la méditation, j’ai compris énormément de choses de mon passé, pour être plus présente à moi-même et mieux aborder l’avenir. Pour moi, coaching et méditation vont de pair, même si ça n’est pas une obligation.

Mon parcours n’est pas forcément celui de tous, tout dépend de ce que l’on recherche pour son bien-être.

L’estime de soi ou « amour propre »

estime de soi

Je crois qu’il est assez clair que lorsqu’on est complexé par son poids, que l’on fume alors qu’on sait que c’est mauvais, que l’on ne fait pas de sport alors qu’on sait que mauvais, on n’a pas une grande estime de soi…

En tous cas, moi, je ne m’aimais pas beaucoup. Et pour un tas de raisons, je culpabilisais d’être trop ceci, pas assez cela. Dans l’autocritique permanente. Je ne le montrais pas, je donnais le change, et puis c’était « normal » en fait de ne pas s’aimer. Dans mon esprit (et dans celui de beaucoup de gens), les personnes qui s’aiment sont des narcissiques, des prétentieux, des égocentriques, tout ce à quoi je n’avais pas envie de ressembler.  J’avais tellement cette croyance, que l’idée de m’aimer ne me venait même pas à l’esprit.  Quel intérêt ?

Grâce au coaching, j’ai compris toute l’importance de se donner de l’amour. J’ai compris qu’on ne remplit pas ce vide en demandant aux autres de nous aimer. J’ai compris qu’on ne pouvait vraiment aimer les autres que si l’on commence par soi. Et ce n’est pas du narcissisme, de la prétention ou de l’égocentrisme, c’est de l’amour propre.

Cet amour propre nous permet de nous faire respecter, de ne pas nous laisser marcher dessus, de ne pas laisser les autres abuser de nous. Depuis que j’ai compris ça, j’ai appris à m’aimer et à me faire respecter sans entrer dans des colères monstres (comme c’était le cas auparavant dès qu’on me manquait de respect). Si je ne me respectais pas moi-même, comment pouvais-je espérer que les autres me respectent ? Tout commence par soi.

La dépendance affective

dépendance affective

Elle va presque toujours de pair avec le manque d’amour propre. Nous ne nous aimons pas, mais nous voulons que les autres nous aiment. On donne énormément d’amour (du moins ce que l’on croit être de l’amour), mais parce qu’on a besoin de l’amour de l’autre. On ne donne pas juste pour le plaisir de donner, on attend un retour au moins égal à ce que l’on donne. Et trop d’attentes amènent frustrations et désillusions.

La dépendance affective engendre la jalousie, la peur de perdre l’autre, la sensation que l’autre nous appartient. Rien de tel pour faire fuir la personne en face… et c’est exactement tout ce que j’ai fait. Je ne dis pas que je suis la seule responsable de mes échecs amoureux, mais j’ai ma part de responsabilité. Et il m’a fallu le coaching pour ne plus rejeter la faute entière sur l’autre, ou les autres…

J’assume mes erreurs, et le simple fait de reconnaître ses erreurs, c’est un pas de géant pour toute personne dépendante affective.

Transformez, vous aussi, votre vie ! 

Je pourrais encore énumérer d’autres bienfaits que le coaching m’a apportés en tant que cliente, mais je crois que cet article est déjà très long. Si vous avez tenu jusqu’à la fin, je vous tire mon chapeau ! 🙂

Je suis devenue coach après avoir été cliente parce que je sais, pour l’avoir expérimenté, que c’est d’une efficacité redoutable. Cela peut apporter énormément de bien-être à des personnes qui en ont assez de souffrir et qui ne savent plus comment y parvenir.

RIEN n’est impossible, rien n’est immuable. Vous pouvez changer votre mode de vie, votre mode de pensée, vos relations aux autres, votre vie toute entière, comme je l’ai fait.

Transformer sa vie

Pour avoir traversé de nombreuses épreuves dans ma vie, je suis également très bien placée pour savoir ce que vous pouvez ressentir. Pouvoir parler à quelqu’un qui a un vécu similaire au vôtre, qui vous comprend, qui a trouvé des solutions grâce au coaching et qui souhaite vous les transmettre, voilà ce que je vous propose.

Investir sur soi est le plus beau cadeau que l’on puisse s’offrir !

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Anne-Sophie, alias Coaching RenEssence.

Comments (2)

  • DUVIVIER13/03/2019 at 13:26 Répondre

    Coucou!
    Je viens de te lire!je suis totalement dans ce parcours,tout sonne vrai,du vécu et réglé!
    Je me pose une question moi(ben oui😉):pourquoi le coaching fonctionne alors que les psy…non?

    • coaching-renessence13/03/2019 at 13:33 Répondre

      Bonne question ! 😉 Disons que le coaching ne règle pas les mêmes choses que les psy… donc selon ce qu’on a à régler, si ce sont de gros soucis du passé, le psy sera (en théorie) plus efficace, mais si c’est le présent qui pose davantage problème, le psy n’apporte strictement rien et le coaching apporte tout ! 😁

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